Itsi bitsi petit burkini...(air connu)
On aimerait parler d'autre chose que de l'Islam, mais les "frères" s'ingénient, dirait-on, à attirer l'attention sur eux. En témoignent ces deux informations concernant le rapport des femmes à cette religion, dont l'une a fait du bruit dans Landerneau parce que l'évènement se passait en France.
Voici l'autre. Dans une ville de Syrie récemment arrachée à Daesh, les femmes ont mis le feu aux niqabs que les islamistes les obligeaient à porter (avec des gants, ça fait plus chic et ça tient chaud) pendant l'occupation. Des images d'actualités montrent leur soulagement et leur joie. En France, autre son de cloche si on peut dire. Dans les Bouches-du-Rhône une association, "Smile 13" a loué pour une journée un centre aquatique qui sera réservé aux femmes invitées à se baigner en "burkini" pour ne pas exciter la concupiscence des maîtres-nageurs. Elles pourront être accompagnées de garçonnets de moins de 10 ans (plus vieux ils deviennent de redoutables prédateurs excitées par leurs soeurs ou leurs mères gonflées comme des bibendums et poussant des cris aigus de filles chatouillées). L'affaire a fait du bruit et entraîné une vive réaction des "laïques", ce qui était certainement le but des organisateurs et de ceux qui les manipulent. Les défenseurs de la laïcité se sont trouvés un peu à court d'arguments : il ne s'agit pas d'une piscine municipale où les lois anti-ségrégation s'appliqueraient mais d'un lieu privé qui peut être réservé pour une fête privée. Prétendre qu'il s'agit d'une opération commerciale puisque l'entrée sera payante et que la loi interdit toute discrimination dans ce domaine, semble une argutie. L'extrême-droite et la droite provençale (qui n'est pas tout-à-fait la droite nationale...)se sont précipitées dans le piège déclenchant une contre-offensive des islamistes et de leurs "idiots utiles" : discrimination, islamophobie, racisme...on connaît la chanson. Pourtant il y aurait beaucoup à dire sur l'association "Smile 13" (quel nom idiot !), probablement noyautée, grassement subventionnée (le clientélisme à Marseille...), ne pratiquant sa charité qu'envers des musulmans dûment certifiés.
Que conclure des attitudes opposées des Syriennes et des immigrées françaises à l'égard de l'Islam et de ses règles ? Qu'ailleurs l'herbe est plus verte ? Il est quand-même difficile de comprendre que des femmes qui connaissent dans notre pays si décrié la liberté, l'égalité des droits, puissent accepter si facilement la loi des pères et des frères, leur état d'infériorité, la séquestration, le viol conjugal, quand ce ne sont pas les mutilations. On a envie de leur dire, comme aux communistes dans les années 60 : "Allez donc vivre là-bas et vous verrez !". Sont-elles à ce point aliénées qu'il leur faudrait pour comprendre une bonne dictature religieuse ? Ne perdons pas espoir, elles peuvent secouer le joug comme le montre l'histoire suivante. Sur ma plage naturiste favorite j'ai côtoyé pendant des années une famille où parents et enfants s'ébattaient nus et joyeux. Une année la fille aînée arriva, nantie d'un "fiancé" musulman qui la traîna sur la plage "textile" et la fagota dans une sorte de combinaison grise et baleinée qui cachait son corps du cou aux genoux. Deux ans plus tard on la vit revenir avec deux garçonnets bruns mais sans l'époux abusif, exposant à nouveau la beauté de son corps nu. Tirez-en la leçon, les filles, ne vous laissez pas faire, balancez vos tyrans par-dessus bord, allez les cheveux dans le vent et en roulant des hanches. Et si vraiment vous avez honte de votre corps et que votre pudeur est chatouilleuse, contentez vous des plaisirs du hamam ou allez voir aux pays d'Allah si j'y suis.